La maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) peut être plus susceptible d’apparaître chez les seniors que chez les adultes plus jeunes. L’âge n’est pas le seul facteur, mais la MPOC n’est pas un aspect normal du vieillissement. Elle est le résultat de dommages aux poumons au fil du temps.
La maladie pulmonaire obstructive chronique est une collection de troubles pulmonaires chroniques qui se développent généralement après des années de lésions pulmonaires. Pour cette raison, l’âge semble être le facteur dominant et les seniors peuvent être plus à risque que les adultes plus jeunes.
La MPOC se déclare souvent après 40 ans chez les personnes qui fument ou qui ont fumé plutôt dans la vie. D’autres facteurs de risque, tels que l’exposition à long terme à des produits chimiques, peuvent également jouer un rôle.
La MPOC s’accumule généralement avec le temps et, par conséquent, plus une personne s’expose longtemps à des lésions potentielles des poumons, plus elle est susceptible de développer une MPOC.
Les poumons des personnes plus jeunes peuvent récupérer plus rapidement des irritants potentiels que ceux des seniors. En outre, les dommages aux poumons peuvent ne pas suffire à provoquer des symptômes, car la MPOC met généralement des années à produire des signes évidents.
Il est essentiel de diagnostiquer rapidement la MPOC, car le traitement vise à ralentir la progression de la maladie. De nombreux facteurs de risque sont évitables et peuvent retarder l’apparition de la maladie.
Les facteurs génétiques
Une maladie génétique appelée déficit en AAT augmente le risque de développer une MPOC à tout âge. La carence en AAT empêche le corps de réagir contre les dommages aux poumons, ce qui pourrait amener les personnes atteintes à développer une MPOC plus rapidement que les autres. Dans ces cas, les gens n’ont peut-être jamais fumé ou n’ont jamais été exposés à des produits chimiques et des polluants nocifs, mais ils courent toujours un risque plus élevé de MPOC.
Le tabac
Le tabagisme est la cause la plus fréquente et le facteur de risque le plus élevé de la MPOC, entraînant jusqu’à 90% des décès. Fumer nuit à de nombreuses régions du corps, mais risque d’endommager davantage les poumons. Les lésions pulmonaires sont permanentes et irréversibles. Au fur et à mesure que les dégâts augmentent, la personne présente un risque accru de MPOC et d’autres troubles pulmonaires.
La fumée de cigarette
Le tabagisme est un facteur de risque direct de la MPOC, mais la fumée est également nocive pour les autres personnes qui la respirent. Cette fumée expose les gens aux mêmes produits chimiques nocifs que le tabac et peut comporter les mêmes risques potentiels au fil du temps.
Les polluants environnementaux
La MPOC peut se développer chez des personnes qui n’ont jamais fumé ou inhalé de fumée. D’autres sources de pollution peuvent contribuer au développement de la MPOC à tout âge, notamment les émanations des véhicules, les produits chimiques provenant d’une usine ou d’un travail industriel, la poussière, les particules de bois, les particules métalliques ou émanations de soudure.
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